Votre navigateur ne supporte pas JavaScript et vous n'avez pas accès à toutes les fonctionnalités du site.
Veuillez vérifier que JavaScript est bien activé sur votre navigateur.

R1m: "La relève"

En ces temps où la question de l’héritage occupe le devant de la scène, et pas toujours pour des bonnes raisons… Il est entendable que notre collectif vieillissant s’interroge sur l’avenir.

Les « anciens » que nous restons s’emploient lors du premier set. Le retour sur les planchers, en ce début de saison, est synonyme d’approximations voir de balbutiements. Loin de laisser tomber et d’envisager trop tôt notre « retraite », les automatismes reviennent, le placement se fait plus rigoureux. Nous ne sommes pas prêts à la « relève » (Clint Eatswood, 1990), et, confiants nous confirmons (25/16).

Tel Pete Mitchell (« Maverick », Richard Donner,2022), Il revient aux « anciens » d’accompagner les plus jeunes dans l’émergence de leurs compétences. Si l’âge entame notre potentiel physique,  de manière relative au regard de nos « corps » encore solides, il s’accompagne souvent de la sagesse.  Si nous n’avons pas de prétention de transmission exacerbée, nous avons à cœur de donner la chance et tous ceux qui nous rejoignent, n’en déplaise aux mauvaises langues ! Nos jeunes, néo-R1m, répondent présents, et après un léger moment de doute, confirment nos espoirs (25/22)

Troisième set, souvent situation de crise pour le MCV 76. A croire que le chiffre 3, souvent associé à la perfection, l’ordre ou l’achèvement, ne convient pas à notre collectif et conduit plutôt à des moments de doutes, de perte d’harmonie voire d’explosions. Nous avons à cœur cette fois-ci de défier cette loi. Chaque membre, plus anciens ou néo-R1m, se donne au mieux et si des maladresses persistent, elles restent en deçà de celles de nos adversaires du jour. Si ces gaucheries sont signes de début de saison, il nous appartiendra de ne pas les transformer, par la suite, en faux-pas (25/17).

A l’image de la devise de D’Artagnan, Athos, Porthos et Aramis (« Les trois mousquetaires », Martin Bourboulon, 2023), tous pour un et un pour tous sera notre leitmotiv.

Le coach masqué