Avec l’arrivée précoce des températures estivales, nous avons, en cette soirée, perdu beaucoup d’eau.

Ce qui est rassurant c’est que, si l’on se réfère à « Popular Science », « … lors de la réalisation d’un effort, si l’on injecte des liquides au sujet, c’est possible de transpirer sans fin ! ». Toujours selon ce magazine, en fonction de la corpulence, et ici nous ne sommes pas tous égaux, en tout cas au sein de notre collectif… une personne qui effectue un effort conséquent transpire entre 0,7 et 1,5 litres par heure. Pour terminer sur ces considérations de sudation (rime non voulue), « il est impossible de transpirer toute l’eau de notre corps, les gens ne se dessèchent pas à en mourir ».

Nos adversaires de la soirée, plutôt inquiets de l’excès de sébum car bien jeunes, et beaucoup plus « secs » que nous, qui sommes pour certains plus proches de l’andropause que de leur premier rendez-vous amoureux, nous ont tenu la dragée haute durant ces plus de deux heures d’effort (donc un peu plus de 3 litres si vous avez suivi !) et ont participé de cette évaporation cutanée.

Si l’issue a rarement fait question (25/15,25/20,25/19), les diverses réactions et surtout le très bon esprit de cette équipe, nous ont permis de partager un bon moment.

A l’issue de cette rencontre (répétition voulue et assumée !), il nous a fallu nous réhydrater, et c’est dans cet éternel moment, que certains qualifient de troisième mi-temps, nous avons essayé de combler notre déficit hydrique. Certes « la tartine de houblon », comme dit un de mes amis, n’est sûrement pas la meilleure solution mais en tout cas elle fait partie des plus agréables et selon « Yuka », application que mes co-équipiers soucieux de leur santé ont partagée ce soir, c’est moins dangereux que nombre de sodas !

Sachons réserve gardée car « bon an mal an », ce breuvage salvateur reste néanmoins de l’alcool et qu’il vaut mieux « 5 fruits et légumes par jour ! » pour conserver un équilibre que nous devrons garder jusqu’à la fin de cette saison.

Le coach masqué.