Quelle surprise en cette saison de constater que nombre d’entre nous avaient changé de catégorie sportive. De Séniors nous devenons Masters.
De prime abord, nous apprécions la courtoisie de cette classification qui nous fait échapper au « vétéran », somme toute souvent considéré comme péjoratif, voir « insultant » une population vieillissante encore à même de véritables prouesses. Nous n’en tenons pas rigueur à nos instances et montrons, malgré un démarrage difficile, qu’il faut encore compter sur nous (25/20). Les « anciens » sont toujours là et prêts !
Master, si l’on l’associe à son acceptation anglophone, recouvre la notion de maîtrise voir de maître. La déclinaison de sens nous est favorable. Dans un premier temps, l’application dans nos actions amène un argument favorable pour prouver cette maîtrise. Aucun moment de doute ne semble pouvoir mettre à mal notre collectif, « joyeusement » secondé par un Lelio en forme, l’issue de ce set paraît sereine. La suite nous donne raison, et comme un véritable « maître d’école » nous faisons la leçon (25/21).
Si l’on entend ce terme comme la reconnaissance d’un grade universitaire validant un deuxième cycle de l’enseignement supérieur (Bac +5), nécessairement attaché à un travail de recherche, nous pouvons annoncer que pendant ce troisième set, nous avons effectivement chercher ! Chercher à résoudre les problèmes posés par nos adversaires, tester des formules avec l’aide jeunes assistants (merci Timéo!), s’il en est tactiques, pour tenter d’assoir nos hypothèses de victoires. Finalement c’est avec une expérimentation heureuse, bravo Aurélien pour cette « 5 » (comprenne qui pourra !) que se termine cette démonstration (25/21).
Loin de nous de proposer une « master class », nous souhaitons juste rester des « master chefs » !
Le coach masqué.
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